Qu’est-ce que le Consuel ?

Le Consuel, signifiant Comité National pour la Sécurité des Usagers de l’Électricité, a été créé en 1973. C’est un organisme qui a pour but de vérifier le bon respect des normes de sécurité en vigueur, relatives aux installations électriques.

Garant de la conformité de votre système électrique, le Consuel délivre ou non une attestation de conformité aux usagers, que les travaux aient été réalisés par un électricien professionnel ou un particulier, pour une construction ou une rénovation complète.

Dans le cas d’une construction neuve, vous ne pouvez pas vous raccorder au réseau électrique si vous ne présentez pas votre attestation.

Le Consuel : obligatoire dans trois cas de figure

La délivrance de ce certificat de conformité est incontournable dans trois cas différents :

1. Nouvelle installation électrique : il s’agit d’une construction neuve d’une maison, d’un appartement, d’un garage.
2. Installation électrique modifiée : rénovation du câblage ou augmentation de la puissance du tableau électrique.
3. Installation complétée : ajout d’un câblage pour raccorder une nouvelle pièce.

Différents types de Consuel

Il existe trois certificats différents correspondant à des critères bien distincts. Je vous conseille de bien vous renseigner avant de choisir votre formulaire. Le Consuel étant payant, il est important de sélectionner le bon formulaire à remplir.

• Consuel jaune : pour les constructions neuves ou rénovations à usage domestique (ex : maison, appartement, garage, installation extérieure, piscine couverte, structure pouvant accueillir du public type gîte de moins de 15 places pour dormir, système d’éclairage extérieur, etc.)
• Consuel bleu : pour les installations de production d’électricité c’est-à-dire qui utilisent des énergies renouvelables comme les panneaux photovoltaïques, les éoliennes, etc.
• Consuel vert : pour les installations liées à des parties communes d’immeubles ou de lotissements, des installations extérieures à usage non domestique, des structures recevant du public (ERP).

Notez, par exemple, que si vous faites construire et que vous voulez utiliser une source de production électrique comme des panneaux photovoltaïques, vous serez dans l’obligation de demander le Consuel jaune et le Consuel bleu.

Quelles sont les démarches pour obtenir la conformité de son installation électrique ?

Tout d’abord, la personne, ayant réalisé les travaux d’électricité, doit acheter et remplir le formulaire sélectionné. Si vous avez fait appel à un professionnel, il doit se charger d’effectuer les démarches nécessaires à l’obtention de votre certificat de conformité.

Si vous avez réalisé vous-même les travaux, voici les étapes à suivre pour demander votre Consuel :

• Connectez-vous au site du Consuel.
• Achetez votre formulaire (valable 2 ans uniquement).
• Demandez à le recevoir soit en ligne soit par courrier.
• Remplissez-le soigneusement.
• Renvoyez votre formulaire au Consuel (liste des différentes adresses sur leur site) lorsque les travaux sont terminés et au moins 20 jours avant la mise sous tension.
• Fournissez un plan d’accès au chantier si besoin.
• Une visite de contrôle peut être exigée par le Consuel si les travaux ont été réalisés par une personne non professionnelle. La date vous est alors communiquée. Cette visite est gratuite. Cependant, si vous annulez ce RDV, la seconde visite est facturée.
• Si vos travaux sont conformes, vous obtenez le certificat sinon vous devez effectuer les modifications demandées par le Consuel et demander une contre-visite.

Combien coûte le Consuel ?

Tous les prix* sont présents sur le site du Consuel. Voici ci-dessous un petit récapitulatif :

	Consuel Jaune Cerfa n°12506*03	Consuel Bleu Cerfa n°15523*01	Consuel Vert Cerfa n°12507*03
Pour les non professionnels	Numérique : 119.68€ TTC Papier : 120.89€ TTC	Numérique : 166.42€ TTC Papier : 167.62€ TTC	Numérique : 63.17€ TTC Papier : 64.37€ TTC

*Tarifs au 4 septembre 2017

Plus d’infos : http://www.consuel.com/tarifs/

Tarifs pour les professionnels : http://www.consuel.com/wp-content/uploads/SC120-27.pdf

Caméra de surveillance chez soi : que dit la loi française ?

Avant de vous présenter les différents dispositifs de vidéosurveillance, faisons un point sur la législation française. Les systèmes de vidéo-protection à domicile doivent respecter la vie privée des passants et des voisins. Ils ne sont pas soumis au code de la sécurité intérieure.

• Vous devez simplement filmer votre propriété (l’intérieur de votre habitation, votre jardin, ou le chemin d’accès privé, etc.).
• Si votre caméra filme la voie publique, vous devez obtenir une autorisation spécifique du préfet.
• Lorsque vous employez une personne à votre domicile (une nounou, une femme de ménage, etc.), les règles du code du travail s’appliquent. Ainsi, vos salariés doivent être informés de l’installation de ces caméras et de leur but. Et, elles ne doivent pas les filmer en permanence, pendant l’exercice de leur activité professionnelle.
• La conservation des images ne doit pas dépasser un mois sauf dans des cas particuliers comme une procédure judiciaire.

Les systèmes de vidéosurveillance les plus basiques

Lorsque l’on est au travail ou pendant ses périodes de vacances, sécuriser son logement fait partie des priorités pour beaucoup d’entre nous. Pour les plus petits budgets, je vous présente une caméra à mettre à l’intérieur de votre logement et un autre système pour l’extérieur de votre habitation.

De jour, comme de nuit, la caméra Visidom ICM100 vous permet de surveiller, à distance (depuis un smartphone, une tablette ou un ordinateur) l’intérieur de votre habitation. Facile à installer, elle se connecte rapidement à Internet par Wi-Fi ou par un câble Ethernet. Équipée d’une motorisation intégrée, elle vous offre une vue panoramique de la pièce à surveiller. Parmi les autres avantages : la Visidom ICM100 permet de communiquer avec une personne se trouvant à proximité de l’appareil et filme automatiquement en cas de détection de mouvement. Poser ce type de système dans votre domicile vous permet, par exemple, de vérifier que vos enfants soient bien rentrés chez vous après l’école.

Installer une caméra de surveillance extérieure peut être l’occasion de dissuader les intrus à approcher de trop près votre logement. La Visidom OC100 présente 2 principales différences par rapport au dispositif de protection intérieure : son indice de protection IP66 lui permet de résister aux intempéries.

Sécuriser son logement : les solutions tout-en-un

Après vous avoir présenté les dispositifs de sécurité de Somfy les plus courants, faisons un point sur les systèmes plus complets. La Somfy One s’installe en quelques minutes. En plus de la caméra, la Somfy One est un objet tout-en-un, comprenant : sirène intégrée, détecteur de mouvement compatible avec les animaux domestiques, détection des alarmes incendie, haut-parleur, microphone et enregistrement gratuit des vidéos sur détection de mouvement. Et pour respecter votre vie privée, la caméra est équipée d’un volet motorisé. À noter que ce système peut être complété par d’autres équipements connectés.

Dernière solution pour une sécurité 2.0 : la Somfy One+. Elle reprend toutes les caractéristiques de la Somfy One avec encore plus d’équipements. La One+ est ainsi livrée avec un IntelliTag. Ce détecteur de vibrations et d’ouvertures pour portes et fenêtres permet de détecter une intrusion avant qu’elle n’ait lieu. Ce pack comprend également un badge permettant d’activer et de désactiver le système. Et afin d’assurer une meilleure protection de son habitation, une batterie de secours est incluse dans ce pack (avec une autonomie en cas de coupure de courant de 6h).

En plus de ces produits tout-en-un, vous pouvez souscrire à un service de télésurveillance : du simple contrôle avec message d’alerte, au déplacement d’un agent sur place. Ces abonnements sont sans engagement ; vous pourrez donc accéder à ce service pour la durée souhaitée.

Motorisation de portail, thermostat, etc. Somfy propose d’autres solutions afin de rendre votre maison connectée. Dans cette vidéo, je mets en avant la box Tahoma de Somfy qui vous permet de contrôler, centraliser et programmer l’ensemble des objets connectés de votre habitation, dont les caméras connectées.

Les exigences de la norme NF C 15-100 à connaître sur le tableau électrique

Avant de penser au câblage du tableau de répartition de son logement, il est important de s’intéresser à ce qui est demandé par la norme électrique française. À ce jour, il s’agit de la NF C 15-100 – Amendement 5.

De quels éléments se compose un tableau électrique ?

Les équipements présents dans un tableau de répartition domestique varient selon le type de logement et les besoins (ex : fonction et nombre d’appareils électriques). Cependant, la norme NF C 15-100 impose la présence de certains appareillages modulaires.

Exemple de schéma de câblage d’un tableau électrique

Ci-dessous, un schéma de câblage possible pour un tableau électrique 3 rangées d’une habitation. Cliquez sur l’image pour obtenir une version agrandie.

Lorsque les différentiels sont raccordés entre eux via un peigne d’alimentation vertical, il n’est pas nécessaire que le tableau électrique dispose de borniers Phase et Neutre. En effet, le raccordement au réseau électrique s’effectue directement via le peigne vertical ou les bornes du différentiel.

Une fois que vous reliez l’ensemble des circuits électriques de votre logement, il est préférable d’identifier chaque circuit avec une étiquette. La plupart des tableaux électriques sont fournis avec des planches d’étiquettes d’identification. Cela permet de faciliter les opérations de maintenance.

Comment câbler un tableau électrique à travers un tuto vidéo

Le câblage d’un tableau électrique en infographie

Qu’est-ce que la domotique?

Avant de parler de KNX, intéressons-nous à ce qu’on entend par domotique. C’est un ensemble de produits électriques et informatiques ayant pour but de faciliter les tâches du quotidien tant dans le domaine résidentiel que tertiaire (bâtiment).

Selon les systèmes domotiques existants, plusieurs solutions filaire et/ou sans fil existent :

• fermées,
• propriétaires,
• ouvertes.

À noter que le KNX est une des seules solutions domotique ouverte.

Qu’est-ce que le KNX ?

Le KNX est une norme internationale. Elle existe depuis 31 ans et a fait ses preuves auprès de nombreux professionnels et particuliers, notamment en Europe. Le protocole KNX est issu d’un mélange de plusieurs systèmes domotique. Son but est de pouvoir simplifier les échanges entre les différents produits. Cela permet à divers équipements domotique de communiquer entre eux et donc de fonctionner ensemble, quelle que soit leur marque. À condition que chaque matériel soit compatible avec le système KNX.

La version filaire de ce protocole fonctionne sur le principe du câble BUS. Il repose sur le fait que tous les produits KNX, également appelés « participants », d’une installation dialoguent entre eux à l’aide d’un seul et même câble. Les produits concernés peuvent être divers, tels que des interrupteurs, détecteurs, actionneurs, etc.

De plus, avec la démocratisation du KNX, des solutions sans fil ont vu le jour afin de répondre aux besoins d’adaptation de tous types de logement. Toutefois, ces produits sont récents et restent encore onéreux.

Où trouver des produits KNX ?

Comme évoqué précédemment, le KNX est ouvert. C’est-à-dire que chaque fabricant souhaitant créer des produits avec ce protocole peut le faire dans la mesure où chaque produit respecte le cahier des charges KNX. Cela permet de garantir la compatibilité avec le reste des équipements dans le monde utilisant ce protocole.

Ainsi, aujourd’hui plus de 400 fabricants conçoivent des produits KNX tels-que Siemens, Hager, Legrand, Schneider, Theben, Jung.

Notre boutique en ligne propose une multitude de produits KNX déclinés sous différentes marques. Comme l’ensemble du matériel électrique de notre catalogue, chaque produit bénéficie d’un prix attractif. Des experts domotique certifiés KNX Partner sont également à votre écoute pour vous conseiller sur votre projet.

Le conseil de Jérémy

Même si le KNX est une solution permettant de répondre à différents besoins, il est essentiel de bien définir vos attentes en amont de la réalisation de votre projet. Ainsi, je vous conseille de vous orienter vers un professionnel certifié KNX Partner. Cette qualification certifie que le professionnel a suivi une formation et qu’il est en mesure de vous accompagner dans votre projet.

Vous pouvez nous contacter via notre formulaire de contact ou par téléphone au 04.81.12.00.80 afin que nous vous mettions en relation avec ces professionnels.

Attention, une installation KNX doit être composée au minimum de certains produits afin que ceux-ci soient alimentés et puissent communiquer entre eux. Il s’agit d’une alimentation, d’un câble BUS KNX, d’une commande KNX (interrupteur, capteurs, etc.) et d’un actionneur.

Le KNX comment ça marche ? Réponse en Infographie !

L’inertie caractérise tout radiateur dont le cœur de chauffe permet d’emmagasiner de la chaleur et de la restituer même lorsqu’il est éteint. Grâce à ce procédé, vous diminuez le nombre de mises en route de votre radiateur. Vous avez ainsi l’occasion d’économiser de l’énergie. Notons que choisir un chauffage électrique à inertie présente de nombreux avantages.

Il existe 2 types de radiateur inertie :

• Le radiateur inertie sèche possède des matériaux (fonte, aluminium, stéatite, pierre de lave, brique, granit, céramique, etc.) qui constituent le cœur de chauffe. Ces derniers emmagasinent de la chaleur lorsque votre radiateur s’allume. Une fois votre chauffage éteint, ils continuent à transmettre cette chaleur à la plaque externe de l’appareil.
• Pour le radiateur à inertie fluide, le cœur de chauffe se constitue d’un fluide caloporteur. Il peut s’agir d’eau glycolée, d’huile végétale ou minérale. La résistance chauffe ce liquide qui tourne en circuit fermé dans l’appareil.

Radiateur à inertie sèche ou inertie fluide : quel chauffage choisir ?

Faire un choix entre un radiateur à inertie sèche ou fluide, cela dépend avant tout de nos besoins en matière de chauffage et d’habitude. Les 2 types de radiateur possèdent plusieurs points communs :

• performance thermique presque similaire,
• peu d’entretien,
• rapidité d’installation,
• chaleur enveloppante et homogène, etc.

Les radiateurs à inertie sèche avec un cœur de chauffe et un panneau chauffant sont parfaits si vous cherchez à chauffer immédiatement votre pièce. Ils s’installent idéalement dans une pièce où la température doit rapidement monter, comme une salle de bain ou une chambre.

Pour les pièces de vie dans lesquelles vous restez longtemps, comme un salon. Nous vous conseillons d’opter pour un radiateur inertie sèche avec un cœur de chauffe en brique ou en fonte. Ce type de chauffage procure un confort constant.

Autre critère de choix à prendre en compte : le prix. Le radiateur à inertie fluide est un peu moins cher à l’achat et plus léger que son homologue à inertie sèche. Enfin, votre choix comprend la puissance de l’appareil. Comme Caroline l’a écrit dans son petit guide du chauffage, pour une pièce avec une superficie inférieure à 10 m², une puissance de 500W* suffit. La superficie de votre pièce est comprise entre 10 et 25m² : choisissez une puissance de 1000W*. Entre 25m² et 50m², une puissance de 2000W* suffit et au-delà, nous vous conseillons de choisir une puissance de 3000W*.

*Ces recommandations ne tiennent pas compte de la situation géographique et de l’isolation de votre logement. Afin d’optimiser votre installation et ainsi réduire à maximum votre consommation d’énergie, nous vous conseillons de faire appel à un professionnel.

Où installer un radiateur électrique à inertie ?

Disposer un radiateur électrique à inertie devient astucieux dans des pièces de vie. Pour des questions de sécurité, il est déconseillé d’installer un radiateur inertie près d’objets inflammables, comme des rideaux.

Le conseil de Stéphane

Afin que son fonctionnement soit optimal, je vous recommande de placer ce chauffage électrique à 15 cm du sol et à plus de 50 cm d’un meuble. Je vous conseille également de positionner ce type de radiateur électrique près des fenêtres. C’est idéal pour contrer directement les ponts thermiques.

Rappels sur le coffret de communication

Également appelé coffret VDI ou tableau de communication, il est l’élément central du réseau de communication d’un logement. C’est à partir de lui que les départs des courants basse tension s’effectuent. Ainsi, il regroupe les différents matériels assurant le bon fonctionnement des équipements multimédia.

Il s’installe dans la gaine technique de logement (GTL), généralement en-dessous du tableau électrique. Pour savoir de quels matériels il se compose, découvrez notre article dédié aux composants minimum d’un coffret VDI requis par les normes en vigueur.

Les étapes pour définir ses besoins

Pour vous aider à choisir le coffret de communication qui correspond à vos besoins et aux éventuelles évolutions de votre logement, voici un récapitulatif des principales questions à se poser.

Tableau entièrement équipé ou à compléter soi-même ?

Une fois que vous avez établit la liste des différents composants dont vous avez besoin, il convient de choisir entre un coffret de communication tout équipé ou à composer.

Beaucoup optent pour un tableau comprenant les principaux éléments permettant de répondre à leurs besoins multimédia. Ensuite, ils ajoutent, si nécessaire, 1 ou 2 matériels complémentaires. Cependant, certains préfèrent composer leur propre coffret de communication. Ainsi, ils choisissent les éléments selon leurs besoins réels.

Le conseil 123elec : quel que soit le type de coffret VDI que vous choisissez, pensez à anticiper les possibles évolutions de votre réseau de communication (ex : l’accès à la fibre).

Récapitulatif des critères de choix d’un coffret de communication

Pour être sûr de disposer d’un réseau VDI adapté à vos équipements multimédia et vos besoins, il est conseillé de choisir le coffret selon les critères suivants :

• l’utilisation du multimédia → le Grade
• l’emplacement de la box Internet → aspect et dimensions du tableau
• le type de brassage souhaité → le type et le nombre de connecteur du bandeau de brassage
• la dimension du réseau de communication → composants du coffret

Cliquez sur l’infographie pour en obtenir une version agrandie.

Petits rappels sur les commandes d’éclairage

Trois types d’appareillage électrique peuvent être utilisés pour une commande d’éclairage classique. On retrouve le simple allumage, l’interrupteur va et vient et le bouton poussoir. Si vous avez du mal à faire votre choix ou si vous souhaitez connaître la différence entre ces interrupteurs, je vous invite à lire mon article sur le sujet.

Pour aller plus loin, le variateur de lumière

Dans les pièces de vie, telles que le salon et la cuisine, il n’est pas toujours évident de trouver une lumière qui convienne à tout le monde. La solution ? Un interrupteur variateur. Cet appareillage permet de moduler l’intensité de la lumière en fonction de vos envies. Ainsi, chacun peut disposer de la luminosité qui lui convient. De la même manière, vous pouvez varier l’éclairage de votre pièce en fonction des différents moments de la journée. Par exemple, lorsque l’on est à table, il est préférable de disposer d’un éclairage optimal. À l’inverse, quand on regarde un film, on a tendance à privilégier une ambiance tamisée.

La précaution à prendre avec ces interrupteurs est leur compatibilité avec les charges. En effet, il est préférable de vérifier si l’appareillage électrique choisi peut commander vos ampoules. Cela varie selon les marques et modèles.

Les interrupteurs de commande d’équipements de confort

L’usage des interrupteurs ne se limite plus à la commande de l’éclairage. Ils offrent aussi la possibilité de commander des équipements électriques du logement. Parmi les plus courants, on retrouve les commandes de volets roulants et les appareillages assurant la gestion de la VMC. La gestion de vos stores, volets roulants et bannes peut s’effectuer d’un simple geste. De la même manière, vous pouvez relier votre VMC à un interrupteur. De ce fait, la ventilation de votre logement se gère facilement et rapidement.

L’utilisation des détecteurs

Certains interrupteurs sont dotés d’un détecteur de mouvement. Ainsi, ils s’allument lorsqu’ils détectent une agitation. L’extinction de la lumière s’effectue également de manière automatique, lorsqu’il n’y a plus de mouvement dans le champ de l’appareillage. Comme pour les interrupteurs variateurs, avant d’installer un détecteur dans son logement, il est conseillé de vérifier sa compatibilité avec les différentes charges.

Parmi ce type d’appareillage, on fait également une distinction entre les systèmes de détection. Une détection infra-rouge enclenche la lumière lorsqu’un mouvement est effectué. Le détecteur de présence est, quant à lui, capable de déceler une personne même si elle ne bouge pas. C’est ce qu’on appelle une détection hyperfréquence.

Les interrupteurs innovants

Parmi les appareillages électriques que l’on vient de citer, certains se démarquent par leur innovation. Ainsi, une simple commande d’éclairage peut se faire par un effleurement. Un interrupteur peut vous aider à économiser de l’énergie. Pour les étourdis qui ont tendance à oublier d’éteindre la lumière, pas de panique, votre appareillage le fait pour vous. S’il ne détecte plus de mouvement dans son champ, il éteint automatiquement la lumière au bout de 10 minutes. Et si vous souhaitez ajouter des points de commande d’éclairage sans avoir à réaliser des saignées, vous pouvez opter pour des interrupteurs sans fil. Ils fonctionnent via des émetteurs et récepteurs, qui communiquent entre eux par le biais de fréquences radio.